20 mars 2008
Est-ce que les organisations intègrent le concept de cycle de vie à leurs produits ou services dans leur plan de développement durable? De quelle façon s'y prennent-elles? Comment fait-on concrètement l'analyse du cycle de vie d'un produit? De quels outils dispose-t-on pour effectuer cette analyse?
Pour répondre à ces questions, les étudiantes et étudiants de l'Association de la maîtrise en environnement de l'Université de Sherbrooke (AMEUS) organisent leur 20e colloque annuel ayant pour thème L'analyse du cycle de vie pour les organisations : applications «vert» l'avenir. Professionnels, gestionnaires, étudiants et toute autre personne intéressée à améliorer l'environnement se donnent rendez-vous le 4 avril à l'hôtel Chéribourg de Magog.
«À la suite des conférences présentées tout au long de la journée, les participants seront en mesure de discuter, de débattre et de trouver des solutions pour l'application du concept de cycle de vie. Par la suite, ils pourront faire les démarches pour l'adapter à leur organisation», précise Pierre Olivier Emond, coordonnateur du colloque.
Le cycle de vie d'un produit commence dès l'extraction des matières premières qui le composent jusqu'à la fin de sa vie. L'analyse, elle, d'un point de vue environnemental, s'attarde à chacune des étapes de ce cycle. Pour chacune de ces étapes, il y a consommation d'énergie et de ressources donc, forcément, on génère des impacts environnementaux.
Or, parmi tous les outils de la gestion du cycle de vie, l'analyse du cycle de vie est le plus complet et le plus performant dont nous disposons jusqu'à maintenant. Il sert à évaluer les conséquences environnementales d'un produit sur l'ensemble de son cycle de vie.
L'analyse complète du cycle de vie permet une vision globale, car elle tient compte des facteurs environnementaux, économiques et, de plus en plus, sociaux, depuis la fabrication, l'emballage, la distribution, l'utilisation et la mise au rebut ou le recyclage du produit, du berceau au tombeau.
«Dans une perspective de développement durable, cet outil deviendra essentiel pour les organisations dans les années à venir. Cette approche est un gage de performance économique, d'amélioration sociale et de préservation de l'environnement», conclut Pierre Olivier Emond.
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